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Oh c'est triste, c'est bien malheureux
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Entendu aux "Assemblées gallèses"
en juillet 91
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Il y'avait sur la mer farouche une frégate et quinze matelots Oh c'est triste, c'est bien malheureux Ils tirèrent à la courte paille et se bouffèrent
mutuellement Oh c'est triste, c'est bien malheureux Quand de ses quatorze camarades il eut achevé le repas Oh c'est triste, c'est bien malheureux Alors y's'fit tatouer su' l'ventre le nom des quatorze malheureux Quand Mathurin revint en France, aux veuves de ses quatorze amis A ces mots les quatorze commères à ses pieds tombèrent
à genoux Sur cette vénérée bedaine elles apportèrent
des pots de fleur Tout'ensemble lui firent faire un petit entourage en buis Une des veuves nommée Catherine en souv'nir de l'époux
regretté Mathurin dit à ces commères des couronnes vous pourrez
apporter Apportez des fleurs naturelles elles se conserveront même l'été Depuis c'temps là Mathurin vit fort sage mais c'qui l'embête
c'est qu'pour montrer |
Hélas pourquoi s'y marie-t-on
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La fille était jeunette qu'elle s'est mise à beurieu Je lui demandis belle qu'avez vous à beurieu Et may garçon honnète, je la 1aissis passeu Quand elle fut sur ces landes, elle se mit à chanteu Attends petite sotte, je t'y rattraperai Soit en gardant tes vaches ou en sciant ton bieu Je ne garde pas les vaches et ne scie pas de bieu Ma mère elle est malade, je reste à la soigneu Quand elle sera guérie, je veux me marieu A un gentil jeune homme qu'est garçon boulangeu Il a la piaue si bianche que la feuille de papieu Il a les cheveux jaunes et les sourcils doreu |
Je lui retape tipe tap |
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J'mis ma main dans ma pochette J'atèri mon guibeurlè La barrique fut mise en perce Dreu dans l'androuè qui fallait Ah j'vous r'mercie mon biau monsieur Du grand pièsi qu'vous m'avez fait Si vous rev'nez à la fouère N'oubliez pas vot' guibeurlè Car j'avons une vieille servante Qu'en voudrait ben dans l'même androuè J'avons aussi ma soeur cadette Qui voudrait ben y gouter |
J'ai perdu ma femme
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Je vouvoie ma femme... encore mieux que vous J'ai une servante... qui me sert à tout Elle fait la vaisselle... et mon lit itou Je couche avec elle... je lui donne cent sous Au bout d'la semaine... ça lui fait trente sous J'ai perdu ma femme... en piquant des choux |
Derrière chez moi y'a t'un p'tit bois |
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Entendu au concours de chant de la Bogue d'Or en octobre 91 | ||
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Mettons nous donc à table
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Entendu lors d'une veillée chants et contes à Penestin en août 89 | ||
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Amis, mes chers amis buvons
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Entendu lors d'une veillée à la "Morinaie" en décembre 89 | ||
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Buvons, trinquons
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Entendu lors d'une veillée à la "Morinaie"
en décembre 89
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Nous étions cinq enfants
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Entendu au concours de la Bogue d'Or en octobre 92
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Nous étions cinq enfants d'un père et d'une mère
Nous allions quatre aux champs, aux champs pour travailler
Je restais à garder tandis que j'étais jeune Un jour me prit envie d'aller m'y promener Là quand je fus rendue là haut de sur ces landes Je me mis t'à regarder et à considérer Là quand je fus rendue au château chez mon père Ils étaient tous à la table à dîner Mon petit frère me dit : Tu parais donc bien pâle Je pris mon grand couteau, une beurrée je coupis Là dans notre jardin, la rivière est courante Sous une broussée de houx, près d'un laurier fleuri |
Trinquons les verres
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Entendu lors d'une veillée à la "Morinaie"
en décembre 89
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De Paris à La Rochelle trinquons les verres
Trinquons les verres sous les lauriers verts
Il y a trois demoiselles trinquons les verres
Trinquons les verres sous les lauriers verts
La plus jeune est la plus belle ...... |